Jour 7 : depart de hoi an / arrivée au pays du frais
Une fois n’est pas coutume nous nous levons extrêmement tard, nous engloutissons tels des dris affamés le petit dej’ et nous nous jetons tels une crevette et un vieux homard neurasthéniques dans la piscine de l’hôtel.
Après des activités diverses et variées (jeu de la baballe, bronzage, …) Nous partons en taxi vers l’aéroport de Danang ou nous attend notre magnifique ATR72 (spécimen d’avion à hélices) !
Nos deux héros en avion
Une petite heure de vol plus tard (paysages magnifiques) et hop nous voici arrivés à Dalat qui est semble-t-il une destination prisée des touristes vietnamiens ! Et là c’est la stupéfaction : la température de dingo et l’humidité horrible ont disparu ! On se croirait de retour en France ! En prenant la navette vers le centre-ville on croise avec stupeur des vietnamiens affublés de doudounes ! WTF !! Le paysage et la végétation sont également très différents : les palmiers et les machins inconnus ont laissé la place aux pins ! On se croirait dans une station de ski ou en suisse ! On apercoit même un téléphérique au loin !!
Le chauffeur de bus est plutôt cool et nous dépose direct devant notre destination : l’hôtel du Parc, qui fait un peu penser à l’hôtel de « shining « : un grand machin classe mais tout vide et un peu impersonnel (mais sans type tout fou avec une hache) !
En face une antenne radio en forme de tour Eiffel nous accueille ! Nous prenons possession de notre chambre, glandouille rituelle, et hop on part bras dessus bras dessous en quête de bonne nourriture (et accessoirement de petites bières fraiches)
La ville a l’air assez euh … baytonné … on discute un peu avec des « easy riders » , des motards du coin habillés en bleu qui proposent des tours de motos hors des sentiers battus aux pigeons touristes . Sans surprise, nous retrouvons le même motard qui nous suit depuis l’arrêt de bus de Da Lat ! Il semble bien décidé à nous embarquer… Mais le Galliot est coriace, surtout quand il a les crocs ! On entre dans le 1er resto venu bien décidés à manger comme des chancres mais tous ces efforts de bronzage du matin dans la piscine ont eu raison des loutres que nous sommes : on pique dangereusement du nez vers nos plats pourtant délicieux ! Bref un repli stratégique s’impose et on rentre vite dans notre tanière pour hiberner ! Avant de se coucher nous décidons de ne rien décider ce soir ! Dodo !!